La Doctrine Sociale Chrétienne III PARTIE. José Gómez Cerda

Destacado

La Doctrine Sociale Chrétienne

III PARTIE

José Gómez Cerda

Président de l’Association dominicaine des Journalistes et Ecrivains (ADPE)

Conférence dictée par José Gómez Cerda, dans le XXI Congrès Mondial de la Fédération Internationale d’Employés Publics (INFEDOP), tenu de du 17 à au 19 mars 2008, à Monterrey, MEXIQUE.

La Doctrine Sociale Chrétienne est une partie intégrante de la conception chrétienne de la vie.

Une doctrine sociale n’est pas seulement énoncée, mais il est mis en pratique aussi en termes concrets.

Ceci on applique beaucoup plus à la Doctrine Sociale Chrétienne, dont la lumière est la vérité, dont l’objectif est la justice, dont la force impulsive est l’amour.

La Doctrine Sociale Chrétienne prétend que chaque personne découvre le rôle irremplaçable qui doit développer dans la société, avec une pleine autonomie ; en même temps il offre l’occasion dont des hommes et des femmes qui ont les mêmes idées et principes sont capables de faire un programme commun, avec des objectifs définis.

Devons rappeler certains des personnages, qui sont des modèles qu’ils peuvent servir à connaître le style de vie ces personnes, de documents, pensées, œuvres et actions qui ont utilisation actuellement.

Ceux-ci personnages peuvent servir comme source et raison d’inspiration pour politiciens, syndicalistes, travailleurs sociaux et toutes ces personnes qui souhaitent être militantes du christianisme social.

Les sources de la Doctrine Sociale Chrétienne sont dans la vie, pensée et des actions du Christ, expliquées dans la Bible, avec une expérience de plus de 2.000 années d’existence positifs, ces sources sont exprimées activement à différents niveaux;

Les plans du christianisme social sont ainsi exprimés dans la vie de l’homme :

  1. La vie de l’esprit, qui comprend:


-Principes et Valeurs universelles.


- Primauté de ce qui est spirituel sur ce qui est matériel.
- La foi.

  1. B) Dans l’ordre social, qui est donné:


- La Doctrine se réfère à la question sociale exprimée dans ce qui est encycliques sociales et d’autres documents sur les matières sociales.

  1. C) Interprétation laïque des faits sociaux :
    - Pensée et action sont faites face avec la réalité de l’atmosphère.


- Questions soumises au jugement de la raison.


- Analyse et interprétation de la réalité, ayant avec référence et confrontation les principes et les valeurs chrétiennes.

Devant l’actuelle crise de chefs universels, nous devons chercher dans les enseignants, ceux qui ont fait de grands apports à la pensée sociale chrétienne, depuis diverses positions, et différentes cultures, peu et pays, mais tous avec le christianisme comme base fondamentale pour leurs actions et activités.

Federico Ozanam, José Cardijn, Leon Bloy, Jacques Maritain, Emmanuel Mounier, Monsignor Ketteler, Tristán d’Atahyde, Konrard Adenauer, Alberto Hurtado, Giorgio La Pira, et d’autres plus, doivent être des chefs le dominion des militants de la Doctrine Sociale Chrétienne, ainsi que las encycliques sociales Rerum Novarum, Quadragesimo Anno, Mater et
Magister, le Travail Humain et Centesimus Annus.

Les syndicalistes chrétiens nous vivons actuellement à une époque de soumission à d’autres pensées, c’est pourquoi on fait davantage de nécessaire que jamais, maintenir, promulguer, diffuser, défendre et pratiquer la Doctrine Sociale Chrétienne, comme expression représentative les travailleurs et les employés partout dans le monde.

Celui-ci est un effort pour doter à ceux qui cherchent une expression pour leur travail syndical, d’une doctrine basée le Christianisme, qui est le système le plus révolutionnaire que l’humanité.

Veux féliciter sincèrement à au le 21 Congrès de la Fédération Internationale d’Employés Publics (INFEDOP), pour inclure dans ses discussions un sujet idéologique, comme est la Doctrine Sociale Chrétienne, précisément en ce moment, quand beaucoup de syndicalistes ont perdu le sens des principes, les valeurs et l’éthique, et on est allé au pragmatisme. L’histoire jugera et récompensera qu’ils ont réaffirmé leur idéologie humaniste et spirituelle.

Les syndicalistes d’inspiration humaniste et chrétienne nous devons faire face à la réalité, sans crainte ni peur ; avec une décision ferme de mettre en pratique les principes, valeurs et l’éthique chrétienne.

José Gómez Cerda

Président de l’Association dominicaine des Journalistes et Ecrivains (ADPE)

jose.gomezc@claro.net.do

La Doctrine Sociale Chrétienne II PARTIE. José Gómez Cerda

Destacado

La Doctrine Sociale Chrétienne

II PARTIE


José Gómez Cerda

Président de l’Association dominicaine des Journalistes et Ecrivains

(ADPE)

Conférence dictée par José Gómez Cerda, dans le XXI Congrès Mondial de la Fédération Internationale d’Employés Publics (INFEDOP), tenu de du 17 à au 19 mars 2008, à Monterrey, MEXIQUE.

Les valeurs fondamentales de la doctrine Sociale Chrétienne sont dans la défense des droits et les libertés de la personne humaine, le travailleur et sa famille, les associations intermédiaires, le rôle de l’état, l’intérêt suprême du peuple et la solidarité nationale et internationale.

LA PERSONNE HUMAINE.

Le principe fondamental de l’HUMANISME INTÉGRAL et la Doctrine Sociale Chrétienne est la PERSONNE HUMAINE ; chacun des êtres humains est le fondement, le sujet et la fin de toute la vie sociale.

La personne, dotée d’intelligence, raison et volonté, donne des devoirs et des droits qui doivent être inviolables.

L’homme, composé corps matériel et âme spirituelle, doit être au-dessus des animaux, des machines et autres instruments matériels, parce que l’homme (type humain : homme et femme), est fait à similitude de Dieu, en outre racheter par Jésus-Christ.

LE TRAVAIL

Le travail est un devoir, en outre un droit qui assiste à toutes les personnes humaines, doit être évalué ou être traité comme une expression humaniste, non comme une marchandise.

Le travail doit être considéré comme l’expression d’un service qui est fait en fonction du bien-être de la société.

Un des principaux trésors qu’avons les hommes est le pouvoir de mettre nos facultés intellectuelles, corporelles et morales au service du travail productif.

C’est pourquoi, toutes les richesses accumulées dans les nations sont le fruit de générations hommes et femmes qui ont contribué avec leurs efforts au progrès de toute l’humanité.

Le travail a suprématie sur la production et le capital, parce qu’il est l’effort humain ; par conséquent on ne peut pas permettre qu’il existe des travaux inhumains.

Le travail doit être évalué ce pourquoi il est, dans seulement ce pourquoi il produit. Dans la société actuelle on n’évalue pas le travail comme une expression humaniste, mais par sa capacité de produire des biens ou des services.

LA JUSTICE SOCIALE

Tout être humain, a des nécessités fondamentales en commun, par exemple : vivre, manger, santé, travail, avoir une maison où vivre, avoir accès aux centres sanitaires, avoir identité et éducation, services de base, eau, électricité, et pouvoir exprimer.

Pour le simple fait d’être personne, chaque individu a le droit de voir ses nécessités satisfaites, de la manière la plus appropriée à son développement propre.

Quand ces nécessités fondamentales ne seront pas satisfaites, nous devons faire face à l’injustice.

La pauvreté est l’injustice la plus fondamentale et plus étendue: ne permet pas l’accès à d’autres nécessités fondamentales, comme un niveau de vie raisonnable, une alimentation saine, une assistance médicale, une sécurité sociale, un environnement propre et un emploi juste.

L’égalité entre les hommes est liée à la dignité de la personne et aux droits qui de celle-ci dérivent.

La dignité des personnes humaines exige l’effort pour réduire les inégalités sociales et économiques excessives. Il propulse à la disparition des inégalités iniques.

La solidarité est une vertu éminemment chrétienne. Il est exercice de communication des biens spirituels encore plus que communication de biens matériels.

LE BIEN COMMUN

Le bien commun est l’ensemble de conditions, d’ordre varié, qui favorisent et permettent le développement intégral de la personnalité humaine.

Dans la Doctrine Sociale Chrétienne la déclaration du concept est dans le bien commun, est la fin de la société et de l’État, et a la justice sociale comme instrument pour l’atteindre ; en outre il indique qu’on doit créer les conditions et l’atmosphère, pour que chaque être humain puisse être développé dans l’ordre familial, culturel, social, politique et économique.

Le bien commun c’est supérieur au bien individuel, parce que ce qui est dernier comprend le bien d’une personne et le premier le bien de la Communauté ; il est aussi supérieur à la somme des biens individuels, parce qu’il conditionne tous.

Ainsi que la société est au service de la majorité des personnes qui l’intègrent, le bien commun doit être au service du bien des personnes, représenté par la justice, la prospérité et la sécurité.

Le bien commun est public, non privé ; il est social, non individuel ; il est universel, non particulier ; il est commun à tous les hommes, il n’est pas propre de groupes minoritaires.

La Doctrine Sociale Chrétienne.

La Doctrine Sociale Chrétienne exprime des principes et des valeurs pour être faits face avec la réalité économique, politique, sociale et culturelle de chaque société spécialement, pour utiliser les méthodes analyse et interprétation de chaque réalité concrète et chercher des solutions aux problèmes, à nécessités et à aspirations de la majorité de la population : le peuple.

Une responsabilité sociale nous fait chercher dans l’histoire récente du christianisme social pour voir clairement le panorama, le pouvoir l’analyser et l’interpréter à la lumière de ces pensées ; nous pourrons ainsi organiser le passé en fonction du présent, en éclaircissant le destin de l’homme et l’évolution de la société.

Elle est différente au capitalisme qui a comme fondement l’argent et les valeurs du capital; il est différent au néo-libéralisme, qui a comme centre le marché et à la concurrence, il est aussi différent au communisme qui donne suprématie au parti politique et la concentration du pouvoir dans l’État.

La Doctrine Sociale Chrétienne. José Gómez Cerda

La Doctrine Sociale Chrétienne

José Gómez Cerda

Président de l’Association dominicaine des Journalistes et Ecrivains

(ADPE)

Conférence dictée par José Gómez Cerda, dans le XXI Congrès
Mondial de la Fédération Internationale d’Employés Publics
(INFEDOP), tenu de du 17 à au 19 mars 2008, à Monterrey, MEXIQUE.

I PARTIE

Ils soient mes premiers mots pour remercier pour invitation que m’il ferait l’ami Bert van Caelenberg, Secrétaire Général d’INFEDOP, pour diriger quelques idées à ce Congrès, qui a lieu à Monterrey, le Mexique, pour traiter le sujet de la Doctrine Sociale Chrétienne.

La Révolution Industrielle, le système qui a changé le monde du travail humain par l’efficacité des machines, qu’a produites le Capitalisme comme système économique, le Libéralisme comme système politique, qui a donné naissance à la classe ouvrière et par Conséquent le syndicalisme, c’est le processus qui a été à l’origine de la question sociale.

Le christianisme social est la position humaniste face à la question sociale, est quelque chose relativement nouveau dans l’histoire de l’humanité, il est réellement entamé au début du siècle XIX ; on met à jour contentement sur la base d’études, de recherches, analyse et interprétations de la réalité, leur en faisant face avec les principes, valeurs et éthique du christianisme social.

Les dirigeants et les militants du syndicalisme humaniste et chrétien trouvent dans les Écritures Sacrées, la Bible, une source pour étudier et avoir une formation spirituelle, spécialement des affaires, sociales et matérielles.

Le syndicalisme humaniste a sa base fondamentale dans les principes de la Doctrine Sociale Chrétienne, qui accorde suprématie au travail sur le capital et l’aspect spirituel au-dessus de ce qui est matériel.

La question sociale est analysé et est interprété dans ce qui est encycliques sociales, en divisant de Rerum Novarum (1891), Quadragésime Annus (1931), Mater et Magister (1961), le Travail Humain(1981) et Centesimus annus (1991), qui dans son contenu expriment la Doctrine Sociale Chrétienne, la responsabilité de ce qui est laïques dans la connaissance et la responsabilité de l’application de cette Doctrine.

Ce qui est encycliques sociales, avec tu apportes de laïques, ils constituent une doctrine sociale, qui marque le modèle pour les activités sociales des chrétiens dans le monde réel, maintenant et ici.

La base de la Doctrine Sociale Chrétienne est la conception chrétienne de la vie et ses références aux valeurs spirituelles et morales.

Les défenseurs et exposants de la Doctrine Sociale Chrétienne doivent profondément connaître la vie, la pensée, l’action et l’exemple du Christ, qui est la base de la doctrine. De rien vaut connaître tout ce qui est matériel, moderne et d’actualité, le fonds est dans la connaissance du centre et modèle, qui est Jésus-Christ.

L’action est centralisée dans le rôle protagonico de l’homme, avec une vision chrétienne de la personne humaine et de la société.

La Doctrine Sociale Chrétienne met à l’homme au-dessus des instruments matériels comme sont l’argent, le capital, le parti politique et l’état, sans les mépriser, mais tous doivent être au service de l’homme et de la société.